Maintenance des copieurs : le coût copie ne fait pas forcément bonne impression

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La tendance est actuellement de proratiser la maintenance par coût copie. Si elle permet de calculer le coût de revient brut réel, cette méthode n’est pas forcément adaptée dans le cadre d’un marché public. Un prix basé sur un volume horaire pour les interventions parait pertinent. En cas de réparation, facturée en référence à un catalogue de pièces est une solution surtout si l’acheteur est propriétaire d’un parc de reprographie neuf. Néanmoins ce système est plus complexe à mettre en œuvre. C’est pourquoi on pourra prévoir l’option des forfaits dans un bordereau de prix unitaire, comprenant le coût de la main d’œuvre et celle des pièces détachées.

« Il est excessif de proratiser la maintenance au coût copie », estime Me Pierre-Yves Nauleau, avocat au cabinet Rayssac. Dispositif prévu dans la plupart des marchés publics de photocopieurs, la tarification comprend généralement la main d’œuvre, les déplacements, les pièces détachées et les consommables, hors papier et agrafes (avec des tarifs différenciés selon la nature d’impression). L&

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