L’achat public imperméable au coût global ?

  • 11/03/2011
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Un acheteur professionnel ne peut pas se contenter du prix affiché sur l’étiquette, mais doit raisonner en coût complet. Trois spécialistes nous expliquent comment l'utiliser avec discernement. Très séduisante au tableau noir, l’approche se révèle un peu plus compliquée à mettre en pratique en période de vache maigre, spécialement dans un secteur public résistant avec peine aux sirènes du moins-disant.

Comme le disait Victor Hugo, « un service vaut ce qu’il coûte ». Ces dernières années, la professionnalisation des achats, la recherche de performance et le souci du développement durable ont (re)placé le « coût global » sur le devant de la scène. En résumé, il s’agit d’une approche dépassant largement la seule valeur apposée sur l’étiquette d’un bien ou d’un service pour intégrer toutes les autres dépenses associées, indirectes ou cachées. Mais quel est exactement son périmètre ? Chez Axes Ma

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