
Elisabeth Borne, première ministre
Elisabeth Borne, seconde première ministre française. Ingénieure générale des Ponts-et-Chaussées, préfète de la région Poitou-Charentes de 2013 à 2014 puis directrice de cabinet de Ségolène Royal au ministère de l'Écologie de 2014 à 2015, elle est présidente de la Régie autonome des transports parisiens (RATP) de 2015 à 2017, Ministre du Travail, passée par les Transports et la Transition écologique. Réputée "fidèle macroniste", elle est de tous les gouvernements depuis 2017. Elle était citée depuis des semaines comme la favorite pour Matignon. Elle est parfois jugée "trop techno et peu politique", ce qui en ferait, selon ses contempteurs, "un simple passe-plat des réformes, alors que le pouvoir resterait concentré à l'Elysée".
Nommée à matignon ce lundi 16 mai 2022, sa feuille de route générale est connue : assurer les engagements écologiques du second mandat d’Emmanuel Macron. Pour ce faire, la nouvelle cheffe du Gouvernement devrait pouvoir s’appuyer sur 2 ministres chargés spécifiquement de cette politique : l’un chargé de la planification énergétique l’autre de la planification écologie territoriale.
Sur le volet social, les partenaires sociaux son manque de flexibilité dans les négociations.
Sur le volet environnemental, auprès de Ségolène Royal puis dans les ministères depuis 2017, Elisabeth Borne est intervenue sur plusieurs questions : outre la loi climat, elle a décrété "l'urgence écologique et climatique" en 2019 ; a concrétisé la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim ; a instauré une écotaxe sur les billets d'avion. Mais elle s'est prononcée (en vain) pour la taxation de l'huile de palme ou pour un référendum sur les propositions de la Convention citoyenne pour le climat.
Les lecteurs assidus d’achatpublic.info la connaissent-elle sur le volet « commande publique » ?
Récemment, et en tant ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, avec Amélie de Montchalin, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques et Olivier Dussopt, ministre délégué chargé des Comptes publics, elle signe une circulaire pour renforcer la qualité sociale et environnementale attendue des prestations et dans la procédure d’attribution des marchés publics, dans les secteurs de la propreté et de la sécurité privée (relire "Sécurité privée et propreté : 6 préconisations ministérielles pour un achat public durable").
En septembre 2020, s’agissant le la mise en œuvre du plan de relance, elle invite les fédérations professionnelles du secteur du bâtiment et des travaux publics à formuler des propositions d’engagements pour assurer le succès de France Relance (relire "France relance et BTP : Pas de contrepartie demandée… mais le Gouvernement attend des engagements").
Dès 2017, elle avait déclaré vouloir ouvrir progressivement, avant la date butoir de 2023, les lignes TER à la concurrence (relire "L’ouverture à la concurrence des TER avancée ?")
Nommée à matignon ce lundi 16 mai 2022, sa feuille de route générale est connue : assurer les engagements écologiques du second mandat d’Emmanuel Macron. Pour ce faire, la nouvelle cheffe du Gouvernement devrait pouvoir s’appuyer sur 2 ministres chargés spécifiquement de cette politique : l’un chargé de la planification énergétique l’autre de la planification écologie territoriale.
Sur le volet social, les partenaires sociaux son manque de flexibilité dans les négociations.
Sur le volet environnemental, auprès de Ségolène Royal puis dans les ministères depuis 2017, Elisabeth Borne est intervenue sur plusieurs questions : outre la loi climat, elle a décrété "l'urgence écologique et climatique" en 2019 ; a concrétisé la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim ; a instauré une écotaxe sur les billets d'avion. Mais elle s'est prononcée (en vain) pour la taxation de l'huile de palme ou pour un référendum sur les propositions de la Convention citoyenne pour le climat.
Les lecteurs assidus d’achatpublic.info la connaissent-elle sur le volet « commande publique » ?
Récemment, et en tant ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, avec Amélie de Montchalin, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques et Olivier Dussopt, ministre délégué chargé des Comptes publics, elle signe une circulaire pour renforcer la qualité sociale et environnementale attendue des prestations et dans la procédure d’attribution des marchés publics, dans les secteurs de la propreté et de la sécurité privée (relire "Sécurité privée et propreté : 6 préconisations ministérielles pour un achat public durable").
En septembre 2020, s’agissant le la mise en œuvre du plan de relance, elle invite les fédérations professionnelles du secteur du bâtiment et des travaux publics à formuler des propositions d’engagements pour assurer le succès de France Relance (relire "France relance et BTP : Pas de contrepartie demandée… mais le Gouvernement attend des engagements").
Dès 2017, elle avait déclaré vouloir ouvrir progressivement, avant la date butoir de 2023, les lignes TER à la concurrence (relire "L’ouverture à la concurrence des TER avancée ?")
JMJ

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