Un modèle de nomenclature pour vos achats de communication

  • 17/03/2004
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Le nouveau code de janvier 2004 ne fait plus obligation de se référer à la fameuse nomenclature des services et fournitures tant décriée, mais le nouveau texte confirme la nécessité pour l’acheteur public de consolider ses besoins par famille tout en lui laissant le soin de définir dans le respect des principes ses propres catégories. En ce qui concerne les achats de communication, la nomenclature défunte semblait plutôt pouvoir répondre efficacement à la fois à une juste définition des besoins et à la fois au marché. La souplesse permise aujourd’hui devrait donc parfaire les conditions de commande en se gardant de toute tentation de saucissonnage. Reste que pour certaines dépenses sensibles, comme le conseil stratégique, l’obligation de mise en concurrence peut paraître à certains comme contradictoire avec une obligation de réserve et de discrétion. Ne faudrait-il pas que ce type de prestations soit soumis à des règles assouplies ? En attendant, achatpublic.com vous propose un modèle de nomenclature à adapter à vos spécificités.

Pour l’essentiel, les achats de communication peuvent se segmenter relativement clairement. Encore faut-il éviter de vouloir répondre à toutes les sollicitations et à des entrées trop nombreuses : organisation interne, métiers, comptabilité, contrôle de gestion, délégation, référencement juridique,… Le principe de base est simple. Il s’agit d’organiser ses d’achats entre deux pôles : ses besoins et l’offre marché. A cet égard, les règles sont établies. Le poids des achats publics en matière de c

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