Le contrôle de la bonne exécution d’un service public, par un opérateur privé, n’est pas vraiment entré dans les us et coutumes de l’administration française. Trop souvent, les rapports des délégataires, rendus obligatoires, ne permettent pas de se faire une idée exacte de la situation, qu'il s'agisse de la qualité du service ou de l'état des comptes. La faute incombe avant tout aux organismes publics. Nombreux sont ceux qui ne prennent pas la peine de réfléchir aux critères d'évaluation d’une d