Domenico Campogrande, économiste en chef de la FIEC : «Les enchères électroniques sont inadéquates pour un secteur comme la construction.»

  • 07/04/2004
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La Fédération de l’industrie européenne de la construction (FIEC) défend à Bruxelles les intérêts des entreprises de la construction et informe ses membres sur l’actualité des politiques communautaires. Domenico Campogrande, son économiste en chef, s’est fortement impliqué tout au long du processus de révision de la législation européenne sur les marchés publics. Certaines des revendications de l’organisation ont été suivies, notamment concernant les enchères électroniques et le dialogue compétitif. D’autres n’ont pas recueilli l’adhésion du législateur, comme par exemple l’obligation pour le pouvoir adjudicateur de pondérer systématiquement les critères d’attribution. Mais d’une manière générale, la FIEC estime que le nouveau paquet législatif répond aux attentes des entreprises européennes de la construction.

Achatpublic.com : Pouvez-vous nous dire quelques mots sur la FIEC et ses activités à Bruxelles ?Domenico Campogrande : «La FIEC a vu le jour il y a près de 100 ans, en 1905. Elle représente aujourd'hui 32 fédérations nationales de 25 pays différents, parmi lesquels certains pays qui entreront dans l'Union en mai prochain. Au travers de ces fédérations, nous représentons des entreprises de construction de toute taille, du grand groupe à la petite entreprise familiale, présentes dans toutes les sp

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