Johanne Desrochers, présidente de l’AICQ : les collectivités québécoises mettent en doute la pertinence du mieux disant pour les prestations d’ingéniérie

  • 21/06/2006
partager :

Aux Etats-Unis, les acheteurs publics préfèrent sélectionner les ingénieurs-conseil sur la base de leurs compétences. Le Canada, dans ses plus hautes sphères administratives, penche pour le mieux-disant. Le Québec, lui, commence à s’interroger sur l’efficacité de cette méthode.

Mieux-disant, moins-disant, comment choisir un service d’ingénierie ou d’architecture en tant qu’acheteur public ? La réponse n’est pas simple. Ni en Europe, ni en Amérique du Nord. Dans cette dernière région du globe, les méthodes varient selon les niveaux de pouvoir et les pays, les Etats-Unis se distinguant de la dichotomie mieux-disant/moins-disant. « Toute acquisition de services professionnels d’ingénierie et d’architecture pour le compte du gouvernement fédéral américain doit se faire sel

Abonnez-vous pour continuer votre lecture

15 jours gratuits sans engagement

Déjà abonné ? Connectez-vous.