Denrées alimentaires : des prix fermes indigestes

  • 01/10/2007
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La restauration collective est touchée de plein fouet par une hausse des prix du beurre et du lait. La reconnaissance du caractère imprévisible de la situation, réclamée à cor et à cri par les fédérations professionnelles, serait salutaire pour les fournisseurs. Les collectivités publiques auraient également à y gagner, si elles ne veulent pas voir la concurrence réduite à peau de chagrin. Solution : rédiger des clauses de variation de prix.

Le risque de pénurie menace-t-il les cantines scolaires, les restaurants universitaires, les hôpitaux, l’armée et les autres collectivités ? La question n’est pas anodine compte tenu de la forte hausse du prix du beurre et du lait depuis plusieurs mois. Le cours du beurre en cube a par exemple enregistré une augmentation de plus de 12% en moins de quatre mois et cela devrait se poursuivre au cours des trimestres prochains. La répercussion des ces hausses dans les marchés publics en cours d’exécu

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