Egalim : comment acheter de la qualité supérieure sans gonfler la facture

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Dans trois ans, les restaurants collectifs publics devront acquérir au moins la moitié de leurs denrées en matières premières de qualité, qu’elles soient labellisées ou bio. Avant d’atteindre l’objectif, il faudra surmonter deux écueils : compenser les éventuels surcoûts et trouver des produits adaptés aux besoins des cuisines centrales.

50% de produits de qualité (Label rouge, appellation d’origine contrôlée ou protégée, indication géographique protégée…) dont 20% minimum de produits bio achetés par la restauration collective publique à partir du 1er janvier 2022. C’est qu’impose la loi Egalim votée en octobre dernier et dont le décret d’application devrait sortir d’ici le mois d’avril. Une législ

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