La lettre d'achatpublic.info n°358

  • 08/04/2011
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Tchô, les marchés publics, moi je dis que c'est un monde cruel, plus naze que la planète Glaburk, pire qu'une verrue ninja. L'interdiction des remises, c'est d'la ratatouille de la tête, une malédiction du subconscient : aujourd'hui, pour acheter des pommes et des salades à Vomito, faut être au moins ceinture noire du cerveau (lire notre article). Pareil pour Béziers 1 et Béziers 2, et la contestation de la décision de résiliation. T'oses pô, t'es carrément un puduk des neurones, la mégahonte. Heureusement, l'avocat Franck Lepron (lire notre invité du jeudi) et Alain Ménéménis (lire la chronique) te donne des over méga pistes de lecture. Pareil pour la violation du délai de stand still, c'est mégafun land, mieux que les bonbons au diziak. Pour admettre la transformation d'une requête de référé précontractuel en référé contractuel, le juge constate que le délai de stand still n'a pas été respecté par la personne publique, mais n'en tire aucune conséquence du point de vue de l'article L.551-20 du code de justice administrative. Toutefois, il rejette la demande d'annulation car aucun des moyens invoqués n'a pu prospérer. Bouark, c'est horrib, méga-gluo-crade (lire notre article). Et j'te parle même pas de l'évolution des prix en cours d'exécution du contrat (lire notre article) ou des obligations du pouvoir adjudicateur face l'offre anormalement basse (lire notre commentaire). De quoi dépressionner les fragiles du psychologisme. Fais gaffe si tu prends l'avocat qui vaut trois centimes. Si t'essayes quand même, tu risques de te prendre une bombe glaviomique. Une commune du 95 a dit ok à un forfait annuel à 6900 euros HT. Le juge, ça l'a pas fait rire. Faut pô pousser. Et la consultation maudite des pesticules, la vile maléfik, elle a fini comme un pétard dans une crotte blasphématoire (lire notre article). La commande groupée UGAP de 50 000 véhicules électriques, c'est mieux que captain mégakill. Tcheu, avoir des autos propres, pour le même prix que celles pourries du slip, c'est pô possib ? (lire notre article). Allez, c'est pô juste mais c'est la fin de cet édito, écrit à l'encre dédébile, sur le sens de la vie et le derrière des choses. A la semaine prochaine.

Jean-Marc Binot (mèche rebelle)

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